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  • : Le blog de luc athimon
  • : Au cours des années, mon activité apostolique en Afrique et en France, m'a amené à travailler un certain nombre de documents. Le désir de partager avec vous et de connaître vos réactions m'a poussé à créer ce blog. Très belles photos d'Afrique ! Amitiés Luc.
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Qui Est Le Père Luc Athimon?

16 octobre 2019 3 16 /10 /octobre /2019 10:31

TEMOIGNAGE  de   LUC ATHIMON, missionnaire O.M.I.

Au Nord-Cameroun (de 1967 à 2003)

 

  1. Quelles étaient vos motivations de départ en Mission ? (qu’est-ce qui vous a poussé)
  2. Description rapide de votre lieu d’atterrissage …
  3. Grandes lignes de vos engagements (le cadre)
  4. A la découverte des gens, au plan humain
  5. Débuts, 1°annonce …
  6. Evolutions dans mes motivations, manières de faire.
  7. Rencontre des gens avec la Foi (qu’est-ce qui les intéressait ?)

      Où les Chrétiens trouvaient-        ils leur  dynamisme ?

      Joies des missionnaires !

  1. Qu’est-ce qu’ils m’ont appris
  2. Une expérience pastorale originale : la COMIPAR 
  3. Mon retour définitif en France  :                         Mes impressions sur la France                  Comment ai-je réinvesti le positif de mon expérience « Africaine » ?

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  1. Quelles étaient mes motivations de départ en Mission ?     (qu’est-ce qui m’a poussé ?)  Double pauvreté des gens : matérielle et spirituelle (ils ne savent pas que Dieu les aime en priorité)
  2. Description rapide de mon lieu d’atterrissage …       Superficie du Cameroun? environ la même que la France, mais en forme de triangle)       Population ? En 1967 , environ 11 ou 12 millions (aujourd’hui le double)

      2 zones très différentes : Zone             tropicale au Nord avec 2  saisons (longue saison sèche et courte saison des pluies),  zone équatoriale au Sud.(4 saisons) 2 zones avec productions agricoles très différentes.

Nombreuses ethnies et langues. Religions ? animistes, musulmans,     chrétiens.

Sud beaucoup plus touché par la colonisation et le christianisme …       Indépendance en 1960.

 

3. Grandes lignes de mes engagements (le cadre)

  4 ans dans la ville de MAROUA – puis détaché pour les Guizigas (ville et brousse aux grands environs de Maroua) ) pendant 15 ans environ – curé de Paroisse à MAROUA pendant 6 ans – détaché pour faire partie d’une équipe assurant des « Missions Paroissiales ». 

 Donc il se fait que j’ai pu suivre l’évolution des chrétiens, depuis l’éveil de la Foi, en passant par l’organisation et animation d’une Paroisse, pour aboutir à une activité de Réveil des chrétiens.

 

4. A la découverte des gens, au plan humain :

                 Ce que les gens m’ont apporté :

           j’ai appris à connaître leur vie (avec               souvent les soucis de la maladie, du                   manque d’argent, joies, faiblesses)

  • et leurs qualités  (d’accueil, mais aussi d’endurance, de patience, de solidarité dans le malheur, de sagesse).
  • La qualité de leurs relations, leur fraternité pleine de chaleur, leur sens de la communauté
  1. Débuts, 1°annonce …
  • 1966-67 : 1° engagements concret, (à 30 ans) où je m’approchai des gens, au Nord Cameroun. Prise de contact jusqu’à 1985     J’appris à connaître les personnes auprès desquelles j’étais envoyé,  j’appris à connaître leur vie et j’entrepris d’apprendre une première, puis une deuxième langues pour bien communiquer avec elles.                     LIEN : mon expérience de milieu populaire et des pauvres en France m’aida dans ces rencontres.
  • En 1971, la responsabilité apostolique des Guizigas me fut confiée

     D’abord, je cherchai à établir une amitié avec les gens : j‘entrepris alors des visites dans les villages, la rencontre des personnes, qui aboutira à des amitiés réelles.                                           

     Puis vint le temps de la Première annonce de Jésus Christ !  Au début, je fus aidé par un interprète,  car je ne connaissais pas encore la langue, J’étais animé par le désir de poser de bons fondements

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LIEN : Mon expérience de Foi personnelle, de rencontre avec Jésus Christ m’influença dans la manière de parler de Jésus !

Par la suite j’aurai un autre souci, d’oeuvrer aussi à la Promotion humaine des gens, pour une évangélisation “intégrale“.  C’est en vue de cet élargissement que  je demandai l’aide d’une religieuse et de laïcs. Vivre et agir en équipe fut alors d’un grand bénéfice !       

  1. Evolutions dans mes motivations, manières de faire :
  • D’abord je m’approchai des gens : apprenant leur langue, liant amitié …
  •     puis j‘annonçai aux gens que Dieu les aimait, j‘annonçai Jésus Christ,
  • Puis il s’agissait pour moi-même d’aimer vraiment les gens (écoute, échange, amitié)
  • Je me préoccupai d’évangélisation ‘‘intégrale“, aussi je mis en place un engagement de la Mission dans la Promotion humaine.
  • A partir de 92, marqué par mon expérience de ressourcement à AIX, l’accent fut mis sur  l’écoute et je m’évertuai à introduire les gens dans une expérience de Foi, source de joie et de vie.
  1. Rencontre des gens avec la Foi (qu’est-ce qui les intéressait ?)
  • J’ai été témoin de la rencontre des gens avec la FOI !

+ Comment les gens réagirent-ils au message chrétien ?

Aux rencontres hebdomadaires, nous avons pu observer que les jeunes étaient intéressés. Ils vinrent nombreux au début, par curiosité. Mais évidemment par la suite les groupes se réduisirent, et se stabilisèrent.

Pour moi, il était insuffisant de‘‘semer“ et même de constater leur présence, mais je voulais entendre de leurs bouches  les raisons de leur venue, qu’est-ce qui les intéressait ?  Ainsi je fis une petite enquête. Voici leurs réponses : « Nous avons reçu la Bonne Nouvelle de Jésus

  • comme une libération de la peur (peur des esprits et des interdits, peur des ennemis, de la sorcellerie) ;
  • comme pacification dans les disputes ; ainsi le pardon a pris la place de l'esprit de vengeance ;  l'ouverture aux autres villages a pris la place de la fermeture sur soi et du tribalisme.
  • Notre foi nouvelle nous entraîne à une compassion plus grande vis-à-vis des pauvres et des faibles et à un engagement à les aider,
  • sans oublier l'accueil et l'engagement dans le développement.
  • Surtout, et par-dessus tout, nous avons une grande reconnaissance pour nous avoir FAIT CONNAÎTRE JESUS et sa Bonne Nouvelle, de nous avoir éveillés à la Foi, à un mode de vie nouveau, à la vie de communauté et à l'amour. »                                               

Puis nous sommes entrés dans la phase de « croissance », avec des bas et des hauts, des ombres et des lumières…

 

 

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+ Où les chrétiens trouvaient-ils leur dynamisme ?

Là encore, une enquête a permis d'avoir des réponses venant des gens eux-mêmes.

Accueillons leurs paroles :

  • « Ce fut la force de la Parole de Dieu (elle nous a éclairés de sa vérité et a transformé nos cœurs)
  • La vie des Communautés, vivantes et fraternelles, nous a attirés.
  • La grande place donnée à la Prière et aux Sacrements
  • Certains frères ou sœurs exemplaires : des témoins, des prophètes, des réveilleurs
  • Les appels à la vigilance qu'on nous a donnés, pour avancer. » 

    + Avec du recul : 

Lors de mon voyage au Cameroun à NOËL 2011 (8 ans après mon retour en France), puis dans une relecture de FOI en 2014, j’ai pu prendre du recul sur ce Temps en AFRIQUE. Et les paroles de Jésus, au retour des 72 disciples revenant de mission me sont revenues en mémoire : « Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez » (Luc 10, 23).

Oui « l’humanité » et la FOI que les gens ont manifestées de différentes manières étaient d’une grande densité ! D’ailleurs n’étaient-ce pas sous l’influence de Jésus Vivant Ressuscité ? Sur le moment elles m’ont touché, mais pas avec assez de profondeur. Et je n’ai qu’un seul regret c’est de ne pas avoir su, au moment même, apprécier toute la densité de ces réalités et les vivre avec plus d’intensité.

Nota : Leur Foi était souvent faite de confiance en Dieu, de simplicité de cœur, comme on en parle dans les Béatitudes. Et les nouveaux baptisés, chaque année, redonnaient souffle à tout le monde.

Joies des missionnaires !

En nous appelant à la vie apostolique, le Seigneur a fait de nous les témoins de choses  extraordinaires.

Oui, je suis heureux et JE DIS MERCI au Seigneur, aujourd'hui.

En effet j’ai eu et j'ai encore la grande chance (la grâce), dans ma vie apostolique, d’être témoin de la Foi des gens, de leur humanité, avec toutes ses variantes, tous ses âges (surtout adultes et personnes âgées) , toutes ses situations .  Oui on peut parler de la « Joie de l'Evangile », comme dit le pape François :

  1. Ma joie, comme missionnaire,  fut de voir des communautés vivantes et joyeuses : 

Les voyageurs venant en Afrique, s'ils participent à la Messe ou à une Fête chrétienne (par exemple à Noël)  sont frappées de la joie, de la vie des célébrations. Nous-mêmes missionnaires, pourtant habitués ne cessons de nous en émerveiller.

  • Asta Marie, lors d'une réunion, dit un jour : « la communauté c'est ma mère ». En effet sa fillette avait été malade, des chrétiens étaient venus la voir et constatant que ses parents n'avaient pas d'argent pour aller à l'hôpital, ils avaient fait appel à la communauté pour les aider. Asta exprimait donc ici sa reconnaissance !   Ce n'est pas un cas isolé, car les chrétiens vivent vraiment en communauté et en prennent les moyens.
  • Ainsi, à la suite de la Messe, régulièrement les gens font une réunion pour reprendre la Parole de Dieu et son actualisation par le prêtre mais aussi pour traiter de la vie de leur communauté : ils parlent des deuils, donnent les nouvelles des malades, les visites à faire, les aides à prévoir … ou les personnes à envoyer chez tel couple qui ne marche pas pour les conseiller ...tel travers à redresser dans la vie au village... telle fête à organiser en se répartissant les tâches.

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Vivant ainsi, ils apprennent à mieux se connaître et des amitiés se nouent entre les chrétiens.

De telles communautés ont une forte puissance d'attraction et ne cesse de grandir !

Comment ne pas y voir les traces de l'action de l'Esprit et s'en réjouir.

 

2)Ma joie, comme missionnaire,  fut aussi de constater la foi expressive des gens : comme à une veillée pascale à Maroua, vers 1988

 «Je me souviens d'une veillée pascale où 80 à 100 personnes adultes et jeunes, hommes et femmes, furent baptisés ensemble. La célébration avait lieu dans une aire sacrée, bien aménagée. Une piscine baptismale avait été creusée et remplie d'eau. Chaque candidat y descendait pour le Baptême, écoutait les paroles prononcées sur lui par le prêtre avec le geste à l'appui, et en sortait, très impressionnés, tandis que la foule chantait, accompagnée par le tam-tam. Puis les nouveaux baptisés partaient dans la nuit, accompagnés par leurs parrains et marraines. Ils allaient changer de vêtement.

 Ensuite, c'était la procession de tous ces baptisés, hommes et femmes, vêtus de blanc, pour recevoir les rites complémentaires, prendre place au milieu de l'assemblée qui s'exprimait par un chant de joie, d'action de grâce. Grandiose ! Et, tous les ans, la même « expérience sacrée » se répétait ! Toutes les missions ont connu ces moments forts. »          

Si vous aviez vu les visages  des nouveaux baptisés :  des visages saisis par le Mystère du sacrement à certains moments et illuminés de joie à d'autres.

En donnant la communion également je suis toujours admiratif devant les visages et les attitudes de prière émouvantes.                      

        Et encore quelle humilité et confiance quand ils se présentent au sacrement de Réconciliation.

 

  1. Ma joie, comme missionnaire, fut encore, en entendant des confidences, de connaître la force transformatrice de la Foi :
  • Comment ne pas être admiratifs en voyant des responsables comme Bernard Oumsarale, courageux et rempli de sollicitude pour ses frères, donnant de son temps sans compter. J'ai assisté à la croissance à la fois humaine et comme croyants de ces responsables, hommes ou femmes : ils ont acquis, au cours du temps, une stature humaine et chrétienne reconnue ! Ce sont d'abord eux les vrais « pères fondateurs des missions »
  • Des chrétiens fonctionnaires montrent l'exemple par leur droiture (telles Nuntiata qui travaille aux Finances. C'elle elle qui a été choisie pour tenir la caisse, on a confiance en son honnêteté. C'est aussi à cause de son dévouement qu'Awa Martine s'est vue confier des responsabilités dans la Santé
  • Des chrétiens touchés par les difficultés de la vie ont une conduite exemplaire : tel Sanda Marcel, tailleur sur le marché, il retrouve quelquefois sa femme en pleurs à la maison. En effet ils n'ont pas pu avoir d'enfants et ils en sont profondément affectés comme tout Africain dans cette situation. Alors Marcel la console comme il peut, ils prient ensemble. Quel courage, qui vient d'une grande foi. Alors qu'habituellement, dans ces cas, la femme va chercher un autre mari, l'homme prend une deuxième femme, eux résistent .. Des chrétiens touchés par les difficultés de la vie, qui cherchent et qui trouvent leur force dans la Foi et y retrouve la joie de vivre, il y en a bien d'autres. (quand il y a un manque de nourriture ou d'argent, quand le mari boit, quand les enfants tournent mal ….

    

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     Confiants dans le prêtre, les malades, au cours de visites, lui font des confidences, ils aiment parler de leur vie souvent avec des épreuves qu'ils ont vécues avec courage et sagesse. Ils parlent de leur famille où ils vivent quelquefois l'épreuve de la division ou de l’abandon de la Foi par les enfants, mais aussi où règne l'affection.

  1. Ma joie, comme missionnaire,  fut d'apprendre l'influence de la Foi dans la vie des chrétiens au village :

Ignace Mbouzao en a témoigné devant des laïcs missionnaires venus de France :

"Permettez-moi de faire appel à un souvenir : j'étais, à ce moment-là, aumônier des laïcs missionnaires, et à ce titre je participais évidemment, à leurs réunions. Un jour, ils avaient choisi d'appeler plusieurs diacres mariés pour  savoir ce que les gens pensaient d'eux. Les diacres commencèrent par les rassurer, leur témoignages de générosité, de fraternité, de service touchaient beaucoup les gens. Ignace, un des diacre dit aussi : "Il y a une chose qui me gêne et gêne les chrétiens de ma communauté. Dans notre mission, il y a un couple de laïcs très proches de nous, très engagés. Mais le dimanche, alors que nous tous sommes en train de célébrer l'Eucharistie, nous les voyons se promener tout près, montrant que cela ne les concerne pas. Comment des gens qui sont avec nous toute la semaine se mettent-ils à part justement au moment le plus fort de notre rassemblement. Dans notre coutume aussi bien que dans ce que nous vivons comme chrétiens, nous ne pouvons pas comprendre". Et il ajouta : "Mais alors, pour vous, Jésus c'est usé ! Chez nous, au contraire, Jésus nous a tout apporté : la liberté (avant, nous avions peur des esprits et interdits, des ennemis, des sorciers) , l'ouverture (avant, c'était le tribalisme, les conflits, nous avons appris le pardon et la paix), l'amour entre frères, le progrès, la connaissance de l'amour de Dieu !"

 

Ainsi ces quelques exemples donnés montrent que la mission de prêtre lui permet d’être « témoin privilégié » de la Foi, des luttes, des faiblesses, des reprises, des joies, en un mot de la vie de ses frères et sœurs chrétiens. La joie de l'Evangile, dont parle le pape François, nous en avons fait l'expérience.

Je ne suis pas sûr qu’il y ait un autre métier dans la vie qui permette ainsi de connaître le « coeur » des humains !  Ma joie aussi, comme missionnaire, devant la reconnaissance des gens : ils disent merci pour la connaissance de Jésus, la Foi et pour l'amitié reçue.  Ainsi le missionnaire se sent utile et dit merci à Dieu.

Qu’est-ce qu’ils m’ont appris ?  J’ai aussi changé : que ce soit à travers mon travail apostolique ou en dehors :

  • j’ai appris l’humilité, l’admiration devant le témoignage de certains laïcs,
  • la bonne volonté des gens m’a donné confiance.
  • le sacrement de réconciliation m’a fait connaître aussi les souffrances morales
  • j’ai appris une plus grande compassion (par l’exemple d’un responsable)
  • j’ai pu voir que Dieu peut se servir de moi pour faire du bien (sentiment d’être utile)
  • J’ai appris surtout l’importance des relations humaines et j’ai appris à mieux accueillir, à ne mépriser personne, à respecter tout le monde.
  • J’ai appris encore la patience, l’endurance
  • J’ai appris à prier vraiment, avec toute ma personne.

 

 

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  1. (( expérience pastorale originale : la COMIPAR

  • En 1993, A la COMIPAR  (COmmunauté des MIssions PAroissiales) communauté d'Oblats chargée d'organiser des Temps de Réveil, dans les Paroisses,

       Mon retour définitif en France en 2003 :     Mes impressions sur la France

Je redécouvris certaines réalités très positives de la France.

  1. Ainsi, en contraste avec ce que j’avais vécu au Cameroun, j‘appréciai la manière courageuse dont les gens réagissaient à des situations ou des évènements malheureux, ne laissant pas aller les choses, mais cherchant les moyens de remettre les affaires debout.
  2. Je relevai encore les nombreuses ONG humanitaires et un bon nombre de gens s’engageant généreusement dans les services, des gens consciencieux et compétents (infirmières dévouées, enseignants donnés à leur tâche près des enfants etc… Des amis, des parents vivant des valeurs humaines,spontanément.
  3. Mais aussi quel individualisme !
  4. Et, en même temps, je me posai la question : pourquoi, pourquoi l’absence de foi religieuse, un grand vide spirituel, aucune référence à la transcendance ! ?  Cela me toucha et me touche encore. De fait, moi-même vivant cette ouverture à la dimension spirituelle de manière très positive, et ayant constaté combien cette expérience apportait au monde d’où je venais, je mesurais combien on pouvait passer à côté de grandes joies, de sources de vie, de liberté, de paix. Quel dommage ! Comment ne pas souhaiter cette découverte vitale à des gens qu’on aime.
  1. Et quelle suractivité, entraînant malheureusement de la superficialité. !

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Comment ai-je réinvesti le positif de mon expérience « Africaine » ?

En 2006, En Paroisse à AIX : sous le signe de la‘‘Fraternité“

 Marqué par mon passé en Afrique, je veillai à  la qualité des relations pour faire de la Paroisse une communauté fraternelle, conviviale.

Marqué par mon expérience de ressourcement à AIX, j‘appris aux paroissiens comment  faire la  relecture de la vie dans la Foi , au cours des Carêmes.

A cela j’ajoutai, par souci d‘ouverture au quartier, des initiatives comme faire partie du Conseil d’Intérêt de Quartier, animer la fête des voisins, créer des communautés de quartier, prendre la vie de quartier comme thème de tout un Carême.

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commentaires

S
Très bel article, très intéressant et bien construit. Je reviendrai me poser chez vous. N"hésitez pas à visiter mon univers (lien sur pseudo). A bientôt.
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